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Zone rouge - T2 : Monte carlo 56

couverture de l'album Monte carlo 56

Série : Zone rougeTome : 2/2Éditeur : Paquet

Scénario : Philippe PinardDessin : Olivier Dauger

Collection : Calandre

Genres : Aventure

Public : Tout public

Prix : 13.50€

  • ZOO
    note Zoo3.5

    Scénario

    3.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Monte carlo 56

Rallye de Monte Carlo 1956. Un duel sans merci oppose deux voitures de légende : les toutes nouvelles Porsche Carrera 1500 GS et Citroën DS 19 qui effectuent leurs premiers tours de roues sur la célèbre épreuve hivernale. Traction avant et tenue de route impériale pour la DS, traction arrière et vivacité diabolique pour la Carrera… des choix mécaniques radicalement différents que seul le talent de leur pilote parviendra à imposer.

Impitoyable, le verdict du chronomètre distribue les pénalisations. Mais sur les routes verglacées du Turini, les secondes perdues s’effacent sous la brume des amitiés trahies et des rêves de gloire enfuis dans un ultime coup de volant sur une trajectoire fatale.


La critique ZOO sur l'album Monte carlo 56

Le rallye de Monte Carlo 1956 est le théâtre d’un affrontement sans merci entre la Porsche Carrera et la DS 19. Les pilotes jouent leur va-tout sur les routes enneigées, nous embarquant dans leur lutte sans merci pour la victoire...

Ce deuxième tome de Zone Rouge est le cadre d’un duel entre Porsche et Citroën, au rallye de Monte Carlo à une période considérée comme l’âge d’or de l’automobile. Laurent, jeune mécanicien très doué pour la conduite, se voit proposer un poste de pilote de voiture d’assistance pour le rallye. Il va manœuvrer pour obtenir le volant d’une voiture de course, trahissant au passage Richard, son vieil ami. Cette amitié brisée va se transformer en une rivalité acharnée dans les virages du Turini.

Cette histoire de Philippe Pinard vaut d’abord par la reconstitution soignée de l’univers des courses automobiles des années 50. Toutefois, les personnages, oscillant entre ambitions et trahisons, sont également attachants et on se prend à vibrer avec eux à chaque virage. Les dialogues sont parfois un peu longs et artificiels mais ce petit défaut contribue aussi à rappeler les bandes dessinées de l’époque.

Parfaitement en phase avec ce parti pris, Olivier Dauger a un dessin extrêmement classique avec une ligne claire qui rappelle Edgar P. Jacobs ou Jacques Martin. Non seulement il est très à l’aise pour représenter les voitures, ce qui est impératif pour ce type de bande dessinée, mais il dessine aussi des personnages expressifs et crédibles. Ses couleurs simples et pastel rehaussent admirablement la pureté de son trait.

Ce deuxième tome en plein Monte-Carlo prolonge brillamment une série qui ravira les amateurs du genre.

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