ZOO
couverture de l'album

Série : Kingdom GameTome : 2/4Éditeur : Tonkam

Scénario : Haruyuki SoraseDessin : Haruyuki Sorase

Genres : Manga, Seinen

Public : À partir de 12 ans

Prix : 7.99€

  • ZOO
    note Zoo2.5

    Scénario

    2.5

    Dessin

    2.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du manga

Une mystérieuse jeune fille force sept lycéens à participer à un jeu. Au sein de celui-ci, ils forment un royaume où Souverain, Nobles et Roturiers sont désignés chaque jour au hasard. Ici, le roi possède une autorité absolue. Les rancoeurs et désirs inavoués apparaissent aussitôt. Mais avant de s'autodétruire, ils découvrent qu'il existe d'autres royaumes et qu'il ne doit en rester qu'un.


La critique ZOO

Après avoir vécu la mort de l’une d’entre eux, le groupe trouve le journal du frère ainé de Kawai. Ils y apprennent l’existence d’autres royaumes, notamment celui de la jeune Yamaoka. En se rendant chez elle, ils comptent bien en apprendre plus sur le jeu. Une quête qui en dévoile un peu plus sur le jeu, arrivant timidement à éveiller l’intérêt.

Les voilà devant le royaume de Yamaoka. Malgré leur discrétion, la jeune fille sait qu’ils sont là et finit par leur parler. Cependant, en dehors d’Aï, ils ne comprennent pas un traître mot de ce qu’elle peut bien raconter. Aï se prête au jeu d’interprète : elle permet à la jeune fille de leur dévoiler ce qui est advenu de son royaume, expliquer certaines règles du jeu tout en réservant une surprise à ses hôtes.

Ce deuxième tome s’enfonce plus avant dans les règles du Kingdom Game, suscitant l’intérêt. On y découvre les principes qui régissent la guerre entre les royaumes et certains bonus que l’on peut acquérir. On rencontre aussi plusieurs groupes avec différentes méthodes de jeu, ce qui pimente le scénario. Les jeunes adolescents ont enfin un plus de plomb dans la cervelle, s’éloignant enfin du côté querelle de récréation du premier tome, même s’il reste encore des passages enfantins dispensables.

Le graphisme, toujours assez simple, bénéficie cependant de l’attrait que semble réveiller ce volume. Les visages expriment enfin les émotions adéquates aux scènes et le décor se développe doucement. Un léger mieux à souligner.

Ce deuxième volume commence enfin à faire montre du potentiel de ce survival.

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