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Dragon Ball Z - Film : Broly, le super guerrier

couverture de l'album Broly, le super guerrier

Série : Dragon Ball Z - FilmÉditeur : Glénat BD

Scénario : Akira ToriyamaDessin : Akira Toriyama

Collection : Glénat Manga

Genres : Aventure, Heroic fantasy, Manga, Shonen

Public : À partir de 9 ans

Prix : 7.60€

  • ZOO
    note Zoo1.0

    Scénario

    1.5

    Dessin

    0.5
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du manga Broly, le super guerrier

Même si Son Goku est le guerrier le plus fort de l’univers, une ombre noire plane sur lui… Quel est le secret de la nouvelle planète Végéta ? Et quelles sont les véritables identités de Paragus et de son fils Broly ? Un combat d’une intensité qui dépasse l’imagination est sur le point de commencer !


La critique ZOO sur l'album Broly, le super guerrier

Son Goku et ses amis affrontent leur ennemi le plus puissant. Si, si, promis, cette fois-ci, c’est le plus fort des plus forts puisqu’il s’agit du Super Saïyen de légende né avec une puissance infinie. Cette adaptation manga du premier volet de l’histoire de Broly sombre dans les mêmes écueils que les tomes précédents.

A tous les fans persuadés que Son Goku est le super guerrier aux pouvoirs et à la crinière jaune légendaires, Akira Toriyama a fait le plus beau pied de nez. Le guerrier de légende existe bel et bien, mais il s’appelle Broly et est un psychopathe fini.

La plus grande vexation jamais faite au culte de Son Goku et de sa puissance a de quoi ravir les amateurs de cette série mythique. Il n’est jamais plus jouissif de voir les certitudes de ses héros balayées et leurs pouvoirs inefficaces face à un ennemi imparable. Certes, ce synopsis est l’essence même de ce que sont les séries Dragon ball. Cela fait donc extrêmement mal au cœur de voir un tel bijou scénaristique détruit par une si mauvaise adaptation en manga.

Encore une fois, et malgré un début de scénario plutôt bien mené, les scènes de combat mises en page dans ce huitième tome sont illisibles. Les transitions sont incompréhensibles et autant dire que la fin est au mieux bâclée, au pire expédiée. Que dire des dessins, si ce n’est qu’ils doivent être l’ouvrage d’un stagiaire adepte des copiés collés du film d’animation à l’origine de cette adaptation manga.

Si la Perfect édition mérite une place en or dans la bibliothèque d’un fan, les tomes d’adaptation des films de Dragon Ball Z méritent ni plus ni moins que le pilon.

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