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Bienvenue sous le soleil rouge de Trappist-1

Si les aliens qui peuplent Red Sun ne réduisent l’humanité en esclavage que dans l’imagination de leurs créateurs, leur système planétaire, Trappist-1, existe bel et bien.

Quand, sur une idée de son éditeur, Stéphane Louis a créé l’intrigue de Red Sun, elle devait simplement « raconter l’histoire d’une humanité emprisonnée par une race alien et l’envie de briser ses chaînes », selon ses propres mots. Mais ce récit de science-fiction s’est « ancré dans le monde réel », lorsqu’il l’a situé dans le système Trappist-1, dont les planètes ont été découvertes en 2017.

Placer l’action à cet endroit précis de l’univers semblait évident à Stéphane Louis, puisque ces planètes en orbite autour d’une étoile naine rouge sont pour certaines « des planètes jumelles de la Terre ». Le scénariste de Red Sun n’exagère pas lors de sa comparaison : ces planètes ne sont pas gazeuses mais rocheuses (comme la Terre), de taille comparable à notre planète et les astronomes suspectent même certaines d’entre elles d’abriter de l’eau... Simple découverte lors d’un journal télévisé, Trappist-1 n’a pas fini de fasciner Stéphane Louis et d’influer sur les couleurs que donne Ale à l’espace...

Projection à l'échelle de la taille du Système solaire et du système Trappist-1 (Bonus Red Sun)

Projection à l'échelle de la taille du Système solaire et du système Trappist-1 (Bonus Red Sun)

Article publi-rédactionnel

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