ZOO
couverture de l'album

Série : La ligue des voleursTome : 1/1Éditeur : Jungle

Scénario : Maïa MazauretteDessin : Dagda

Collection : Jungle Kids

Prix : 12.00€

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    4.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis de l'album

Bienvenue dans la ligue : une communauté secrète où les voleurs évoluent parmi les gens normaux ! A l’école de la Ligue des voleurs, pas de grammaire, ni de mathématiques. A la place, cours de tir, maniement des munitions, étude de la cryptographie et infiltration. Objectif : devenir le meilleur braqueur de la promotion. Pour Clémence, ça ne devrait pas poser de problème. Fille de deux fameux bandits de la Guilde, elle a le talent de son père et la classe de sa mère. Sauf que Clémence a un secret : elle préfère largement étudier la biologie à la bibliothèque plutôt que de braquer des banques avec style. Mais lorsqu’on fait partie de la Guilde, on se doit de respecter certaines règles : pas de contact avec le monde « normal », pas d’amis en dehors de la communauté, c’est un engagement total qui est pris très au sérieux. Pour Clémence, c’est le début d’un dilemme. Comment ne plus vivre dans l’illégalité et ne pas décevoir...

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La critique ZOO

Pas facile la vie de bandit apprentie ! Le duo Maïa Mazaurette-Dagda nous le fait bien comprendre dans la Ligue des voleurs. Dès le premier tome, les autrices  nous embarquent avec brio dans les coulisses d’une école pas comme les autres.

Quand on a des parents voleurs, le week-end, pas de sortie au musée, mais plutôt braquage en famille. Et comme si cet héritage ne suffisait pas, Clémence, 11 ans, doit potasser la cryptographie et le maniement des munitions pour ses cours au sein de la Ligue des Voleurs. Le but cette école ? Apprendre aux enfants à voler. Uniquement aux riches, avec classe et sans violence !

Dans sa Guilde de jeunes bandits, Clémence doit valider une première épreuve pratique : un vol en ville duquel elle doit rapporter le plus gros butin. Aux yeux de la jeune élève qui rêve d’un avenir sans cavale ni mensonge, il s’agit d’une mission de taille. Comment réussir cet examen son voler ?

Dès le premier tome, Maïa Mazaurette nous immerge dans une communauté où la ruse et l’agilité promettent les jeunes à un brillant futur. Les scènes bien ciselées et les dialogues débordant d’humour nous révèlent de page en page l’univers et les membres de cette fine fleur de la pègre. Entre les cours de tir et les infiltrations, on s’attache progressivement à l’héroïne, qui rejette cette transmission familiale pleine de contraintes et d’interdits.

Mission accomplie côté dessin, confié à Dagda et son trait haut en couleurs. Les bouilles enfantines sont tendres et leurs regards brillent de malice. Les scènes d’action, dépeintes avec une belle précision, se mêlent aux tranches du quotidien pour mieux s’adresser au jeune public.

Roublard dans l’âme ou pas, on referme ce premier volet de la Ligue des voleurs avec une seule hâte : savoir à quelles péripéties Clémence et ses camarades seront prochainement exposés.

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