ZOO

Terres d'Arran : Elfes - T22 : Le Gardien des racines

couverture de l'album Le Gardien des racines

Série : Terres d'Arran : ElfesTome : 22/35Éditeur : Soleil

Scénario : Nicolas JarryDessin : Bertrand Benoît, Gianluca Maconi

Collection : Fantastique

Genres : Fantastique, Heroic fantasy

Public : Tout public

Prix : 14.95€

  • ZOO
    note Zoo2.0

    Scénario

    1.0

    Dessin

    2.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Le Gardien des racines

Bëloenn, le maître des Écorces irascible, veille sur les arbres anciens. Il vit en ermite jusqu'au jour où Laëdyss, une chasseuse dont le clan a été massacré, vient lui demander son aide. Partout sur les Terres d'Arran, les créatures des bois deviennent folles et attaquent les elfes Sylvains... L'origine du mal plonge ses racines au plus profond de la forêt de Duhann, dans le sanctuaire de la reine Ora, gardienne du cristal vert...


La critique ZOO sur l'album Le Gardien des racines

La vie s’assombrit pour la chasseuse Laëdyss, forcée de demander secours à l'irascible maître des racines Bëloenn. Nicolas Jarry dévoile un nouvel aspect magique des arbres de la forêt. Malheureusement, il recycle maladroitement les personnages mythiques de Lah’saa et Ora dans un scénario très banal, dessiné de façon propre mais lisse par Gianluca Maconi et Benoît Bertrand.

La mort se propage dans le clan de la chasseuse sylvaine Laëdyss. Pris de folie, les animaux de la forêt deviennent agressifs et un sombre pouvoir règne sur le royaume sylvain. L’Elfe n’a d’autre choix que de chercher l’aide de Bëloenn, le terrible maître des racines.

Nicolas Jarry donne vie aux arbres de la forêt et leurs esprits sont gardés par un ermite traumatisé, le gardien Bëloenn. Si l’idée de scénario est bonne, son exécution est plate dans ses dialogues et faussement profonde dans la construction de ses personnages. Même la réapparition de personnages emblématiques comme Lah’saa et Ora, artificielle, avilie leurs mythes respectifs.

Côté dessin, Gianluca et Benoît livrent un travail propre, aussi bien dans les traits fins de leurs personnages que dans la représentation de la forêt, personnage central de ce tome. Cependant, les mouvements des personnages sont mécaniques et l’action ne prend pas au fur et à mesure des pages.

Quel dommage que ce vingt-deuxième tome des Elfes. Souffrant d’un scénario trop creux et n’exploitant pas ses bonnes idées, ses clichés détériorent le mythe des personnages elfes réussis dans les tomes précédents.

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants