ZOO

Châteaux de sable

couverture de l'album Châteaux de sable

Éditeur : Kaléidoscope

Scénario : Stéphane HenrichDessin : Stéphane Henrich

Genres : Humour, Récit de vie

Public : De 3 à 8 ans

Prix : 13.00€

  • ZOO
    note Zoo5.0

    Scénario

    5.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Châteaux de sable

Une petite fille s’amuse à la plage. Elle fait un pâté. Voilà qu’un petit garçon arrive et fait un château. Il n’en fallait pas plus à leurs papas pour s’en mêler…


La critique ZOO sur l'album Châteaux de sable

Châteaux de sable, album pour les 5 à 7 ans met les papas au premier plan, chose plutôt rare dans la littérature jeunesse ! Leur histoire de rivalité au bord de la mer est à ne pas louper avant, pendant et même après les vacances !

Papa et sa petite fille sont confortablement installés sur le sable jusqu’à l’arrivée d’un autre papa avec son petit garçon. Le premier s’esbaudit sur le magnifique pâté de sa fille tandis que l’autre observe du coin de l’œil et applaudit à son tour la superbe réalisation de son fils. A partir de ce moment-là, la compétition est engagée : les papas prennent la réalisation de LEUR château en main sous l’œil désabusé de leur progéniture qui finit par aller jouer ensemble au ballon. Mais le concours continue... qui sera le plus haut, le plus beau, le plus magnifiquement décoré ?

Châteaux de sable

Nos deux compères en viennent aux pelles et se battent comme des chevaliers si ridicules que les mouettes en rigolent jusqu’à ce que l’eau les achève eux et leurs châteaux... Leurs enfants seraient-ils plus avisés ?

Cette histoire muette offre des doubles-pages de dessins plus riches les unes que les autres. Chaque situation est détaillée avec minutie et un trait très précis. Le talent de dessinateur de Stéphane Henrich, incontestable, offre une atmosphère un peu rétro dans sa façon d’habiller et de coloriser les différents personnages. Son génie tient également dans la multitude d’histoires que l’on peut lire dans chaque scène.

Moralité : le ridicule ne tue pas mais fait bien rire !

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants