SuperMax

L'auteur réussit l'exploit de résumer un siècle de BD en 213 pages, bien que certains titres emblématiques soient oubliés. Physiquement, l'ouvrage impressionne par son format imposant et sa reliure solide, tandis que son contenu est organisé de manière claire, offrant des résumés succincts et des illustrations riches. En dépit de quelques oublis, ce livre séduira tous les amateurs de BD.

La BD "Les Guerres de Lucas" se distingue par sa capacité à mettre en lumière l'importance cruciale de l'entourage de George Lucas dans le processus de création du film. En mettant en avant des figures clés telles que Marcia Lou Griffin, Alan Ladd Junior, Gary Kurtz, John Williams, et d'autres, le livre célèbre la synergie de talents qui a contribué au succès presque miraculeux de la production de Star Wars. Cette œuvre constitue une excellente immersion dans les coulisses du film, offrant une porte d'entrée pertinente pour ceux désireux d'approfondir leur compréhension de sa réalisation.

Le moral des armées de César est au plus bas. Vicévertus, médecin-chef des armées a une idée lumineuse : la pensée positive. Et le voilà parti convaincre non seulement les soldats romains, mais aussi les membres d'un petit village bien connu.
La transformation des Gaulois en positifs ne suscite pas autant d'amusement que je l'aurai espéré et bien que certaines répliques des soldats romains m'aient provoqué des sourires, celles des Gaulois sont moins convaincantes.

Le gars dit que voilà, c'est la fin de la série avec ce tome 6. Il est un peu déçu, trouve que la fin aurait pu être plus pétaradante, moins gentille, tu vois ? Il râle sur le fait qu'un des personnages, Eugène, ait trop d'excuses pour être un sale type. Il voulait une fin plus hardcore, pas une histoire si simpliste. Mais bon, malgré tout ça, il reconnaît que l'intrigue est bien foutue avec les différents personnages qui racontent la même histoire sous des angles différents. Il dit "good job" à l'auteur pour ça. Le dessin, il trouve que c'est toujours aussi détaillé, les personnages bien dessinés, et les couleurs collent bien à l'ambiance glauque de l'histoire. Au final, il dit que c'est une très bonne série, mais il est quand même vénère parce qu'il n'a pas eu la fin qu'il voulait. Il pense même à faire quelques longueurs pour se calmer. Plouf, quoi !

Ce premier tome est pas mal, deux héroïnes, qui donnent envie de suivre leurs aventures. Je n'ai pas été convaincu par ces étranges créatures qui donnent un ton trop fantastique à mon goût, même si tout s'enchaine plutôt facilement...

Urban Comics a lancé un nouveau label de graphic novels, dont Harley Quinn - Nreaking Glass fait parti. Un très bon récit, où l'on revient sur les jeunes années de l'héroine.

Après Du sang sur les mains, Matt Kindt retrouve les éditions Monsieur Toussaint Louverture; pour un récit fascinant en mode poupée gigognes, où chaque chapitre ouvre une nouvelle porte. A la fois brillante et paranoiaque, l'histoire nous entraine sur les traces de personnages dotés de pouvoirs psychiques hors normes, regroupés au sein d'une agence gouvernementale secrète.

Parker est un voleur froid, parfois brutal, sans scrupules ni empathie. Ce n'est pas un tueur fou, mais il n'hésitera pas une seconde si cela lui semble nécessaire.
A la base, ce personnage est né dans des livres signés Richard Stark, allias Donald E.Westlake, un des grands maîtres du roman noir. En tout, on le retrouve dans une quinzaine de polars entre 1962 et 1974, puis une poignée d'autres au tour des années 2000.
A partir de 2009, Darwyn Cooke, s'attaque à l'adaptation de quelques un des meilleurs titres de la série, relevant le challenge haut la main. SOn travail est à la fois fidèle au ton si particulier de Westlake, et très personnel grâce à un graphisme et un découpage à mi-chemin enter le comics et le roman graphique. Bref, un pur plaisir autour de cette intégrale de 600 pages !

Scott Snyder et Greg Capullo sont de retour dans l'univers de Batman et c'est magistral. Ils nous emmènent en croisade dans un troublant jeu de piste "à la snyder". Dans un récit particulièrement rythmé, les éléments narratifs prennent sens petit à petit, pournotre plus grand plaisir. C'est une fin demonde sans pareil, et le plus interessant c'est que Batman n'y comprend rien...

Hit the road montre que Dobbs aime le cinéma de genre. Dans ce récit complet solidement mis en images par Khaled (Les chroniques de Centrum), on retrouve tous les codes du thriller, sur les traces d'une héroine forte mais malmenée par les évènements qui la dépassent...

En 1950 en italie et huit ans après en France, les aventures trépidantes d'un nouveau personnage arrivent dans les kiosques à journaux, en format poche. Son nom ? Akim ! Les débuts, très classiques, de ce héros s'inspirent fortement de Tarzan...puis le récit devient beaucoup plus original, n'hésitant pas à fleurter avec le fantastique...
Les aventures d'Akim se poursuivront pendant plus de trente ans, à raison d'une nouvelle parution tous les quinze jours... Retour avec cette intégrale sur les deux premières années des aventures d'Akim ..