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Mölang et Piu Piu : Piu Piu est malade

couverture de l'album Piu Piu est malade

Série : Mölang et Piu PiuÉditeur : Flammarion

Scénario : Marie ManandDessin : Hye-Ji Yoon

Collection : Père Castor

Genres : Récit de vie

Public : De 1 à 5 ans

Prix : 6.00€

  • ZOO
    note Zoo2.0

    Scénario

    2.0

    Dessin

    2.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du manga Piu Piu est malade

Piu Piu, le poussin timide, a la varicelle, son ami Mölang n'a pas le droit de lui rendre visite. Mais impossible de séparer les amis, Mölang est un lapin facétieux qui a beaucoup d'imagination.


La critique ZOO sur l'album Piu Piu est malade

Mölang, petit lapin créé en 2010 sous forme d’émoticons sur un blog, a vu ses aventures diffusées à la télévision. Puis, en attendant davantage de produits dérivés, en petits albums jeunesse dont le titre Piu Piu est malade. Un volet adapté aux très jeunes mais tristement consensuel tant dans le récit que les illustrations.

Piu Piu, le petit poussin grand ami de Mölang, est malade. Il a la varicelle. La maladie est très contagieuse, aussi est-il placé en quarantaine. Mölang ne peut plus le voir et pour continuer à communiquer avec son ami, il faudra alors qu’il trouve une solution.

La série s’articule, comme souvent, autour de thématiques simples qui font le quotidien des jeunes enfants. Avec la varicelle, maladie bien connue des plus petits, l’identification avec les deux héros anthropomorphes est facile. Les textes courts et adaptés à la lecture du soir allient des phrases brèves en haut de chaque illustration à quelques mots prononcés par les personnages : « Snif », « Oh Non », etc.

Très lisses, le texte comme les illustrations ne prend aucun risque. Le but étant de plaire au plus grand nombre, le design kawaï y répond parfaitement. Le trait cercle les animaux aux formes simplifiées à l’extrême d’une grosse ligne claire, emplie de couleurs pastel pures opposées les unes aux autres : le tout séduit immédiatement.

Mölang, série efficace, car pensée en termes d’exploitation d’un succès presque garanti, manque cependant cruellement d’originalité et d’audace tant dans ce qu’elle raconte que dans son esthétisme.

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