ZOO

The Wicked + The Divine - T1 : Faust départ

couverture de l'album Faust départ

Série : The Wicked + The DivineTome : 1/9Éditeur : Glénat Comics

Scénario : Kieron GillenDessin : Jamie McKelvieColoriste : Matthew Wilson

Encreur : Matthew Wilson

Collection : Comics

Genres : Comics, Fantastique, Polar / Thriller

Public : À partir de 12 ans

Prix : 17.50€

  • ZOO
    note Zoo5.0

    Scénario

    5.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du comics Faust départ

Ce n’est pas parce que vous êtes immortel que vous vivrez pour toujours...

Tous les quatre-vingt-dix ans ou presque, douze dieux se réincarnent dans le corps de jeunes adultes. Ils sont charismatiques et brillants. Ils se tiennent devant des foules immenses, qu'ils emmènent dans l'extase à travers des langues inconnues. La rumeur veut qu'ils soient capables de miracles. Ils sauvent des vies, que ce soit métaphorique ou concret. Ils sont aimés. Ils sont détestés. Dans moins de deux ans, ils seront tous morts...

Fable de fantasy urbaine où les divinités sont des pop stars ressemblant étrangement aux icones de notre époque, The Wicked The Divine forme une métaphore fascinante de la jeunesse d’aujourd’hui et de la gloire éphémère érigée en valeur suprême de notre société moderne. Véritable phénomène critique et public aux US, meilleure vente comics indé aux US derrière...

Lire le synopsis

La critique ZOO sur l'album Faust départ

Pop music et divinités incontrolables : les deux ingrédients valent de l’or sous la plume de Kieron Gillen, le trait de Jamie McKelvie et la couleur de Matthew Wilson, qui cosignent The Wicked The Divine. De la célébrité éphémère à la fan attitude, leur comic traite du monde d’aujourd’hui avec une explosion de couleurs et un regard acéré.

« Ils sont aimés. Ils sont détestés. Ils sont brillants. Dans moins de deux ans, ils seront morts. » Voici le mantra qui régit la vie de douze jeunes dans lesquels se sont réincarnées des divinités. Ils auraient pu passer deux ans à fasciner l’héroïne de 17 ans et le monde entier, si Lucifer n’avait pas été prise en flagrant délit de meurtre via claquement de doigts...

Douze divinités sur fond de sex, drugs et rock’n’roll n’auraient pas suffi à faire un bon comic. Le pacte faustien de Laura, l’héroïne, est auréolé de mystères, de révélations et de références à la musique pop. En quelques pages, on est emportés par la mélodie entêtante de ce récit qui évite le piège de la reproduction des idoles actuelles en les hybridant. Laura évolue dans un monde où l’on échappe enfin aux standards blancs, hétéros et stéréotypés.

La fan qu’est Laura se balade dans un Londres transcendé par un graphisme léché mais jamais froid. Les stars qu’elle croise de concerts en backstages sont grandioses et sublimes, toujours à la limite d’en faire trop. On y retrouve de manière plus ou moins explicite, David Bowie, Rihanna, Kanye West ou Florence Welch de Florence The Machine dans des ambiances qui combinent tous les effets de lumières possibles à la lueur d’admiration dans les yeux des spectateurs.

Il fallait une équipe de choc pour faire croire à une réincarnation de divinités en pop-stars. C’est chose faite : longue vie aux immortels !


L'actualité autour de l'album Faust départ


La bande annonce sur l'album Faust départ

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants