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Outcast - T4 : Sous l'aile du Diable

couverture de l'album Sous l'aile du Diable

Série : OutcastTome : 4/8Éditeur : Delcourt

Scénario : Robert KirkmanDessin : Paul AzacetaColoriste : Elizabeth Breitweiser

Encreur : Elizabeth Breitweiser

Collection : Contrebande

Genres : Fantastique, Polar / Thriller

Public : Tout public

Prix : 16.50€

  • ZOO
    note Zoo5.0

    Scénario

    5.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
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Le synopsis du comics Sous l'aile du Diable

Kyle Barnes subit les contrecoups des secrets le concernant lui, ses proches, et son passé… En revanche, Kyle et Sydney ont une conversation décisive où des réponses sont apportées… Une conversation qui va TOUT changer. Et en réalité, Kyle n’a jamais été autant en danger que maintenant… Parviendra-t-il à échapper à ce qu’il vit comme une malédiction depuis des années ?


La critique ZOO sur l'album Sous l'aile du Diable

Nous retrouvons Kyle dans une mauvaise posture : le sort du banni semble sceller mais c’est sans compter sur sa combativité. Son duel avec Sydney arrive à son paroxysme et livre un quatrième tome passionnant d’Outcast tout en noirceur.

Kyle prisonnier, ligoté au fond d’une cave, se retrouve en tête à tête avec Sydney. Ce dernier veut faire de lui un allié pour la grande fusion. Durant leur conversation, Kyle annonce qu’il sait que Sydney est le diable en personne. Ce dernier éclate de rire devant un tel jugement : ni Dieu ni le diable n’existent selon lui qui n’est que « fusionné ». Alors que Sydney retire les liens enserrant les jambes de Kyle, ce dernier en profite pour tenter une évasion...

Ce nouveau tome scénarisé par Robert Kirkman répond à certaines questions laissées en suspens par l’intrigue tout en semant le doute sur de nombreux éléments. Nouveau coup de maître de la part du scénariste de Walking Dead que de poser dans un récit de possession que ni Dieu ni le diable ne sont de la partie... Cette annonce de Sydney est-elle une révélation ou un bluff énorme ? Avec le face-à-face de Kyle et Sydney, chaque personnage se révèle avant qu’un coup de théâtre close le tome... Vivement la suite !

Le trait de Paul Azaceta s’attarde davantage sur l’atmosphère que sur la précision des décors. Ce parti pris appuie parfaitement le scénario en densifiant ainsi une ambiance déjà lourde et sombre. Les couleurs très ternes d’Elisabeth Breitweiser nous entraînent dans des endroits complètement désertés par l’espoir.

Sous l’aile du diable bouscule ses lecteurs : on adore ça !

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