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couverture de l'album À la lumière du chaos

Série : Les Maîtres InquisiteursTome : 6/18Éditeur : Soleil

Scénario : Jean-Luc IstinDessin : Stefano Martino

Collection : Heroic fantasy

Genres : Heroic fantasy

Public : Tout public

Prix : 15.95€

  • ZOO
    note Zoo3.5

    Scénario

    4.0

    Dessin

    3.0
  • Lecteurs
    note lecteurs3.0
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Le synopsis de l'album À la lumière du chaos

Qui en veut à la vie des Maître Inquisiteurs ? C’est ce que tentent de découvrir Nikolaï avec l’aide de quatre autres inquisiteurs. C’est une enquête délicate qui doit être menée rapidement car si l’inquisition est la cible apparente, Nikolaï redoute un attentat à l’encontre des monarques : Aquilon et Assynia. Le mobile est évident : la magie, éteinte depuis la fin de la grande guerre, doit à nouveau redevenir vive et puissante. Car la magie est liée à la guerre. Et qui en a besoin pour exercer ses talents ? Les Maître Inquisiteurs. Il n’y a aucun doute : le coupable est l’un d’entre eux. Mais lequel ?


La critique ZOO sur l'album À la lumière du chaos

Après cinq tomes d’intrigues intrigantes, le temps est venu pour nos cinq maîtres inquisiteurs d’unir leurs forces contre la menace qui plane sur la paix du royaume. Passé maître dans l’art d’allier avec succès des scénarios a priori décousus, Jean-Luc Istin réussit un bel épilogue pour ses Maîtres Inquisiteurs, avec le support graphique lisse de Stefano Martino.

Mais quel complot terrible se trame dans le monde ? Les cinq maîtres inquisiteurs réunissent leurs esprits et leurs indices pour combattre la menace imminente, menée par de mystérieux sorciers noirs et le félon Corwyn.

Alors que sort l’excellent épilogue des Elfes, Jean-Luc Istin est sur tous les fronts et délivre la conclusion de son cycle des Maîtres Inquisiteurs. Le scénariste y déploie son talent de narration pour faire coïncider tous les rouages de son vaste complot, nourri par la soif de pouvoir et le goût de la magie.

Stefano Martino oeuvre au dessin et fournit un travail propre, quasi scolaire. Les lignes des personnages sont presque trop lisses et les scènes de bataille ponctuées par les bons rebondissements, sans fioritures ni excès. Un souffle un peu plus épique aurait pu régner sur l’ambiance de ce tome aux enjeux si grands.

Alors que tous les tomes des Maîtres Inquisiteurs ne méritaient pas leur place au Panthéon des bandes dessinées réussies, Jean-Luc Istin fournit une conclusion plaisante, avec tous les ingrédients présents pour réussir son scénario. Accompagné d’un dessin peu ambitieux et presque plat, ce final aurait mérité un peu mieux.


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